Appel pour la libération des séquestrés de Tindouf
Le collectif international « Almohagir », installé en Europe et présent dans dix pays européens, avec un panier associatif regroupant plus de 60 associations actives, a lancé dernièrement, un appel international en faveur des enfants sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf, en Algérie.
L’Appel international intitulé « Non à l’oubli et à l’indifférence ! » a été diffusé dans la presse locale de différents pays européens et dans les sites électroniques du Collectif international « Almohagir » et des associations affiliées, ainsi que dans ceux des ongs et associations œuvrant dans le domaine des droits de l’homme et de l’enfant en particulier. Il a été envoyé aussi aux diverses instances internationales chargées de la protection de l’enfance et des droits de l’homme à travers le monde, aux médias et aux ongs représentant les opinions publiques nationales.
L’Appel international intitulé « Non à l’oubli et à l’indifférence ! » a été diffusé dans la presse locale de différents pays européens et dans les sites électroniques du Collectif international « Almohagir » et des associations affiliées, ainsi que dans ceux des ongs et associations œuvrant dans le domaine des droits de l’homme et de l’enfant en particulier. Il a été envoyé aussi aux diverses instances internationales chargées de la protection de l’enfance et des droits de l’homme à travers le monde, aux médias et aux ongs représentant les opinions publiques nationales.
L’Appel fait suite à d’autres appels similaires lancés par d’autres ongs des droits de l’homme et des droits de l’enfance exhortant la communauté internationale, le HCR, la Croix Rouge et d’autres organismes et ligues des droits de l’homme à agir de concert pour mettre fin au calvaire d’enfants innocents, retenus de force dans les camps du Polisario à Tindouf. E drame touche, également, leurs familles séquestrées par la milice armée du Polisario et la Sécurité militaire algérienne, ne bénéficiant nullement, comme le reste de la population des camps, du statut de ‘réfugié(e)’, lequel donne le droit à son bénéficiaire de se déplacer librement d’un territoire à l’autre.
Aussi le Maroc, de concert avec les nations éprises de justice et de liberté, demande-t-il avec insistance à l’ONU et au Conseil de sécurité des mesures concrètes pour que les camps du Polisario soient désarmés et placés sous l’autorité du HCR, afin que les familles et les personnes qui s’y trouvent, souvent de force, soient libres de leurs mouvements et choisissent, de leur plein gré, de rester dans les camps, de regagner le Maroc ou d’aller vers un pays tiers. Le vœu des populations, exprimé en toute liberté, est à respecter, avec en plus la garantie onusienne.
Il est certain que si on respecte à la lettre le vœu des populations, en l’absence de toute contrainte militaire ou policière, en dehors de tout chantage tribal ou clanique, il n’y aurait plus grand monde dans les camps et ceux-ci perdraient leur fonction et leur rôle, de foyer de rébellion et de chantage et le Polisario perdrait du même coup sa raison d’être !
Aussi le Maroc, de concert avec les nations éprises de justice et de liberté, demande-t-il avec insistance à l’ONU et au Conseil de sécurité des mesures concrètes pour que les camps du Polisario soient désarmés et placés sous l’autorité du HCR, afin que les familles et les personnes qui s’y trouvent, souvent de force, soient libres de leurs mouvements et choisissent, de leur plein gré, de rester dans les camps, de regagner le Maroc ou d’aller vers un pays tiers. Le vœu des populations, exprimé en toute liberté, est à respecter, avec en plus la garantie onusienne.
Il est certain que si on respecte à la lettre le vœu des populations, en l’absence de toute contrainte militaire ou policière, en dehors de tout chantage tribal ou clanique, il n’y aurait plus grand monde dans les camps et ceux-ci perdraient leur fonction et leur rôle, de foyer de rébellion et de chantage et le Polisario perdrait du même coup sa raison d’être !