Sahara : les fixations de la diplomatie algérienne
Chakib Khelil, ancien ministre algérien de l’Energie, vient de reprocher à « la France de soutenir sans limite le Maroc sur le dossier du Sahara Occidental », une déclaration qui confirme le raidissement des dirigeants en Algérie chaque fois qu’un pays marque son appui au plan d’autonomie présenté par le Maroc.
Dans l’esprit des responsables algériens, le Polisario est une ligne rouge à partir de laquelle ils distinguent leurs alliés de leurs ennemis. Ceci, alors même que l’Algérie crie à qui veut l’entendre qu’elle n’est pas partie prenante dans l’affaire du Sahara, bien que le Polisario soit une création algérienne et que ce mouvement séparatiste ne doit son existence qu’au soutien financier, diplomatique et militaire d’Alger.
La diplomatie algérienne est d’ailleurs exclusivement focalisée sur l’affaire du Sahara. Si ce n’est pas la France, c’est le Sénégal et ainsi de suite. Il suffit de se rappeler la guerre médiatique déclarée par les médias algériens contre les responsables et la diplomatie sénégalais pour leur soutien à l’autonomie au Sahara.
Le Sénégal, pays membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU, avait salué l’adoption, fin avril, de la résolution 2285. Son représentant permanent auprès de l’ONU avait assuré que le texte était « assurément équilibrée » et le résultat de « consultations constructives » entre les membres du Conseil.
Une position qui a été confirmée, le 16 mai, par le président Macky Sall pour qui le Sénégal a « pris part par un vote positif au Conseil de sécurité de l’ONU sur la mission de la MINURSO ».
La position du Sénégal sur la question du Sahara est « une position que nous assumons. C’est une position historique du Sénégal et que nous allons continuer à poursuivre », a insisté le chef d’État sénégalais.
Une déclaration qui ne manquera pas d’irriter le landerneau politico-militaire à Alger et de susciter encore quelques réactions exaspérées de la presse algérienne.
L’Algérie est une partie prenante dans ce conflit avec notre pays.
Le pouvoir algérien se base sur l’ennemi voisin « le maroc », pour agrandir son pouvoir , faire oublier la crise politique et dernièrement économique à son peuple due à la chute du pétrole et dans la même occasion affaiblir le maroc.
C’est la politique hérité de la guerre froide de l’union soviétique, mais c’est une mauvaise stratégie même la Russie à changer d’addon contre les états unie en jouant sur le développement économique et militaire pour pouvoir rester une puissance et rivaliser avec les état unis.
la position de cet ex oujdi souleve des doutes comment ose-il donner son avis sur cette affaire alors qu il n est pas titulaire d un poste au pouvoir ? cela laisse penser qu il a la benediction des tyrans militaires qui voient en lui un obeissant assidu et qui leur a ete un bon serviteur durant toute la periode ou il siegeait a sonatrach.le flechissement de la position de nos voisins n est guere pour demain malgre la bataille actuelle pour le pouvoir.
tant que l’ algerie est gouvernee par des militaires il faut que le maroc s ‘bstien à nouer le dialogue avec les généraux car ils ne changerons jamais de mentalite
la diplomatie algerienne est tellement partie prenante pour le conflit du sahara marocain puisque c’est eux qui ont crée ce conflit ;pour mettre le baton dans la roue de développement du maroc ;toutes déclarations qui ne soutient pas l’algérie dans son égarement est regetées par les généraux algériens ,parceque c’est eux dirigent le pays