Sahara occidental: vers une reprise en main par Ban Ki-moon ?
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon s’impliquera-t-il personnellement dans les efforts déployés pour parvenir à un règlement de la question du Sahara occidental ? L’information n’et pas dénuée de sens et son aboutissement pourrait ouvrir de nouvelles perspectives de solution.
En tout cas, si ces informations se confirmaient, cela voudrait tout simplement dire deux choses : d’une part, l’échec de la mission de Christopher Ross et de l’autre, la relance du plan d’autonomie présenté par le Maroc et que le Conseil de sécurité a qualifié de base « sérieuse et crédible » pour des négociations. Ban Ki-moon qui doit honorer un agenda international chargé, en tête duquel figure la crise syrienne, n’attendrait qu’une éclaircie pour s’investir dans le dossier du Sahara occidental, selon des sources qui suivent cette affaire à l’ONU. En plus de l’échec de Christopher Ross, l’empressement du secrétaire général aurait également été motivé par les dernières menaces belliqueuses du Polisario. Le Front armé basé en Algérie, qui lutte pour l’indépendance du Sahara occidental avec le soutien d’Alger, a en effet menacé de reprendre les armes contre le Maroc.
L’autre aspect qui constitue une sérieuse source de préoccupation pour Ban Ki-moon est la situation humanitaire inquiétante qui prévaut dans les camps de Tindouf. Dans ces campements tenus d’une main de fer par le Polisario dans le sud-ouest algérien, la population sahraouie subit les pires exactions. La libre circulation y est totalement bannie et aucun droit à la libre expression n’est toléré. Les opposants à la ligne du Polisario sont systématiquement réprimés ou tout simplement supprimés. L’enjeu de cette chape de plomb maintenue sur les camps de Tindouf est énorme. Les milliers de sahraouis qui y sont retenus depuis 1976 sont en effet, pour le Polisario comme pour l’Algérie, l’unique monnaie d’échange pour maintenir la pression, à la fois sur le Maroc et sur la communauté internationale.
Cette est déclarée par l’Algérie et non le polisario, qui n’est rien sans le soutien financier et logistique de l’Algérie
Investir pour prolonger le probléme du sahara marocain est une stratégie vital pour les responsables algériens.
Le Maroc est un ennemie ===des dépenses sans contrôle
le financement de polisario est un article dans le budget des milliataires algériens
Il n’y a aucune différence entre les Sahraouis du Sahara occidental et ceux du grand Sahara.l’l’Agérie vit à 99’00 des richesses du
Gand Sahara,territoire dans lequel l’Algérie ne possède pas le moindre grain de sable.iis ne
sont que les receleurs:alors chiche,que l’ONU fasse un referumdum dans les territoires Sahraous qui n’ont jamais fait partie De L’Empire Ottoman