Sahara marocain : 1,2 milliard de dollars d’investissements
Dans son effort constant et durable d’étoffer le tissu économique des provinces sahariennes, le Maroc vient d’allouer la somme de 1,2 milliard de dollars d’investissements, directs et indirects, touchant les infrastructures de base et les activités économiques et sociales génératrices de revenus pour les habitants des provinces sahariennes, du grand sud marocain. Aussi, l’essor économique, urbanistique, culturel et social des villes sahariennes est-il devenue une réalité palpable que tout un chacun peut voir, toucher et y prendre part. Les villes sahariennes sont dotées d’infrastructures solides et performantes en matière de norme urbanistique, de ports et aéroports, de chaussées, routes et ponts, écoles, collèges, lycées et centres de formation, de dispensaires, hôpitaux et cliniques, de stades, terrains et salles de sport, de salles de spectacle et loisirs, etc. Les villes du sud n’ont plus rien à envier à leurs homologues du nord. Cet effort gigantesque déployé, dans le cadre de l’Agence de développement des provinces du sud, dépasse de loin ce que l’Espagne, puissance occupante a investi depuis 1884.
On est loin de la vision initiale du Sahara de 1975, vue, sentie et vécue, aussi bien par les habitants nomades que par ceux qui ont choisi d’y vivre comme une vaste étendue de désert infini, entrecoupée d’agglomérations disparates et sous-équipées et de points d’eau disséminés le long des routes sahariennes qu’empruntent les méharis et les dromadaires.
Les villes sahariennes d’aujourd’hui comme Laâyoune, Boujdour, Smara, ou Dakhla sont des villes modernes avec tous les compartiments sociaux et économiques nécessaires et toutes les activités qui leur sont liés.
On est loin de la vision initiale du Sahara de 1975, vue, sentie et vécue, aussi bien par les habitants nomades que par ceux qui ont choisi d’y vivre comme une vaste étendue de désert infini, entrecoupée d’agglomérations disparates et sous-équipées et de points d’eau disséminés le long des routes sahariennes qu’empruntent les méharis et les dromadaires.
Les villes sahariennes d’aujourd’hui comme Laâyoune, Boujdour, Smara, ou Dakhla sont des villes modernes avec tous les compartiments sociaux et économiques nécessaires et toutes les activités qui leur sont liés.
C’est pourquoi le Maroc déplore les partis-pris de certaines Ongs, telle que « France Liberté », et les rapports tendancieux qui y sont distillés afin de donner une image négative du Maroc et de discréditer l’effort de développement socio-économique qu’il ne cesse de déployer dans ses provinces sahariennes du sud. D’ailleurs, le rapport de Hans Corel, conseiller juridique de l’ONU sur l’exploitation des ressources naturelles dans les provinces sahariennes du Maroc n’a jamais remis en cause la compétence du Maroc en la matière ni contesté la légalité des contrats d’investissements que le Maroc a initiés avec des partenaires économiques internationaux, pas plus qu’il n’a démontré que l’exploitation des ressources naturelles du Sahara se faisait au détriment des populations locales. Bien au contraire, tout ce qui est entrepris est d’abord et avant tout, au service des populations qui y habitent et y travaillent.
Le Maroc, pays de devoir et de droit, a tout sacrifié, et continue de le faire, pour la promotion sociale et économique de ses provinces du sud, dans un esprit de devoir et d’abnégation absolue pour le bien être de ses populations, chose que tout un chacun peut voir et constater à l’œil nu, en se rendant dans n’importe quelle ville ou localité du Sahara marocain.
Le Maroc, pays de devoir et de droit, a tout sacrifié, et continue de le faire, pour la promotion sociale et économique de ses provinces du sud, dans un esprit de devoir et d’abnégation absolue pour le bien être de ses populations, chose que tout un chacun peut voir et constater à l’œil nu, en se rendant dans n’importe quelle ville ou localité du Sahara marocain.