Plan Autonomie

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L’autonomie, passage obligé pour tout règlement politique du conflit du Sahara Occidental

GCSPL’initiative marocaine d’autonomie est aujourd’hui plus que jamais, un passage obligé pour tout règlement du conflit du Sahara occidental.
C’est la conclusion à laquelle est parvenu Marc Finaud du Centre de Politique et de Sécurité de Genève (GCSP) lundi à New York, dans le cadre d’un séminaire international. La rencontre est organisée sur le thème : « Commissions régionales relevant des Conseils Nationaux des Droits de l’Homme : bonnes pratiques et défis », par la Mission permanente du Maroc auprès des Nations Unies.
« Au lendemain du renouvellement par le Conseil de sécurité du mandat de la MINURSO, la solution politique juste, durable et mutuellement acceptable que l’ONU appelle de ses vœux, repose plus que jamais sur l’initiative marocaine d’autonomie », a affirmé cet ancien diplomate et Conseiller principal sur le Programme des défis émergents de sécurité au sein du GCSP.
Abordant l’Initiative marocaine d’autonomie dans sa dimension Droits de l’Homme, Finaud précise que le plan d’autonomie marocain s’inscrit dans le cadre de l’édification d’une société démocratique moderne, fondée sur l’état de droit, les libertés individuelles et collectives et le développement économique et social. En même temps, ajoute-t-il, elle garantit à tous les Sahraouis à l’extérieur et à l’intérieur, toute leur place et leur rôle, sans discrimination, ni exclusive, dans les instances et institutions de la région.
L’expert du GCSP assure en conclusion, que le projet d’autonomie marocain apporte la promesse d’un avenir meilleur pour les populations de la région, met fin à la séparation et à l’exil et favorise la réconciliation.
Il leurs offre l’opportunité  de gérer elles-mêmes et démocratiquement leurs affaires à travers des organes législatif, exécutif et judiciaire dotés de compétences exclusives et de ressources financières nécessaires au développement de leur région.
Le séminaire a vu la participation des représentants d’un bon nombre d’associations et d’organisations spécialisées dans les droits de l’homme, dont le Conseil National marocain des Droits de l’Homme (CNDH) de Driss El Yazami.

2 thoughts on “L’autonomie, passage obligé pour tout règlement politique du conflit du Sahara Occidental

  1. L union africains 80% des chefs d état son des escrocs des pyromanes
    L Afrique restaura toujours en bas d échelle je vous donne 2 exemple l agerie un president qui parle pas qui mache pas un payer riches et la population crève de faim le president d afridue de sud a fait des millions d’euros dans ses villa au frais de la population et son ex a la tête de ua elle est incapable de prendre des décisions car d autre prennent a leurs plasse
    Mes ou je ne comprends pas ou est son les amies du maroc a l union africains pourquoi il accepté cette décision elle devrait démissionné de cette organisation des corrompus et faire une autre orgnisation avec le maroc et laisser les valeurs entre eux
    Je dit a tous ses haineux du maroc notre sahara et marocaine pas un grammes de sable nous manquera pour la vie ou la mort nous sommes tous dernière notre roi et notre peuples marocains
    VIVE SA MAJESTÉ LE ROI ET TOUTE SA FAMILLES

  2. L’abandon par l’ONU de l’opération de recensement des Sahraouis, l’abandon par l’ONU depuis 2002 de la citation de la formule du référendum comme voie de l’autodétermination, le succès continu du Plan d’autonomie auprès de très nombreux pays, dont les grandes puissances, tout cela milite en faveur de cette dernière solution. Mais aussi braque de plus en plus Alger et Abdelaziz le marrakchi. Les derniers succès de la diplomatie marocaine en Afrique de l’Ouest ont apparemment poussé Alger à se tourner vers l’UA pour l’impliquer dans cette affaire, non pas pour que celle ci trouve une solution (son histoire de même que celle de l’ OUA montrent qu’elle n’ a jamais pu résoudre quoi que ce soit sur le continent), mais pour faire pression sur l’ONU et l’amener à remettre sur le tapis le référendum. En fait Alger se prépare dès à présent à la prochaine réunion du C.S de l’ONU de 2015.

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