Le Sahara, cause nationale pour le peuple marocain. Voilà pourquoi:
Enthousiasme, frénésie, déchaînement, les mots sont trop faibles pour décrire l’élan spontané qui s’est emparé du Maroc tout entier, après que le défunt Roi Hassan II eut annoncé en 1975 aux marocains l’ordre dans l’ordre de renouer dans une marche pacifique avec leurs frères retrouvés au Sahara occupé. Une mobilisation dans un humanisme croyant sans peur et sans haine qui imposait respect et admiration
Tout un peuple, dans son enthousiasme patriotique, prêt à tous les sacrifices, pourquoi ? Parce qu’il s’agit d’une cause nationale sacrée, la revendication du Maroc sur son Sahara se fonde sur des facteurs d’ordre historique et juridique. Le Sahara est le prolongement désertique et africain du Royaume du Maroc, une indiscutable solidarité de destin unissant les populations d’un seul peuple par des liens millénaires, ethniques, culturels et religieux du Rif au Changuit. L’exercice, continu et incontesté de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, s’était manifesté durant des siècles n’ayant été interrompu que par l’occupation coloniale. Cette souveraineté était d’ailleurs admise de l’extérieur, car des actes internationaux témoignaient de sa reconnaissance par d’autres Etats.
Tout un peuple, dans son enthousiasme patriotique, prêt à tous les sacrifices, pourquoi ? Parce qu’il s’agit d’une cause nationale sacrée, la revendication du Maroc sur son Sahara se fonde sur des facteurs d’ordre historique et juridique. Le Sahara est le prolongement désertique et africain du Royaume du Maroc, une indiscutable solidarité de destin unissant les populations d’un seul peuple par des liens millénaires, ethniques, culturels et religieux du Rif au Changuit. L’exercice, continu et incontesté de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, s’était manifesté durant des siècles n’ayant été interrompu que par l’occupation coloniale. Cette souveraineté était d’ailleurs admise de l’extérieur, car des actes internationaux témoignaient de sa reconnaissance par d’autres Etats.
Fort, de la justice de ces droits, le Maroc a réclamé le retour du Sahara à la mère patrie dès son accession à l’indépendance en 1956, il n’a jamais accepté la politique du fait accompli et a engagé à cette époque les démarches diplomatiques nécessaires auprès des instances internationales. Le 25 Février 1958 à Mhamid El Ghezlane, dans l’actuelle province de Zagoura, feu Mohamed V, dans un discours historique, fixe la voie « Nous proclamons solennellement que nous poursuivrons notre action pour le retour de notre Sahara dans le cadre du respect de nos droits historiques et conformément à la volonté de ses habitants ». Son successeur feu Hassan II et le peuple marocain tout entier sont restés fidèles à la ligne politique ainsi déterminée.
Saisie par le Maroc, la cour internationale de justice rendu le 16 Octobre 1975 son avis dans lequel elle reconnaît « que le Sahara n’était pas un territoire sans maître (terra nillius) au moment de sa colonisation par l’Espagne, que le Sahara avait avec le Royaume du Maroc des liens juridiques d’allégeance ». Dès la publication de cet avis, feu Hassan II prend acte de la reconnaissance qu’il contient, et ce fut la Marche Verte. L’ampleur de la mobilisation populaire s’explique, donc, par la nature même de la revendication, puisqu’il s’agit de reconstituer le patrimoine national en parachevant la reconquête de l’intégrité territoriale. La Marche Verte apparaît d’abord dans l’ordre et la discipline comme une revanche du peuple marocain sur une histoire qui lui a été imposée par la force.
Mais, le vent ne va pas toujours au gré de la caravane. Après cette voie pacifique qui a permis un juste aboutissement et une décolonisation grosse de risque d’embrasement dans la région, le Maroc se trouva face à une conspiration. Un mouvement révolutionnaire pour l’indépendance du Sahara est subitement né, un peuple est trouvé en exil, (des familles sahraouis amenées de force aux camps de séquestration à Tindouf et complété par des éléments algériens et des pays voisins) et enfin une pseudo entité appelé RASD, montage auquel beaucoup parmi les fondateurs du mouvement n’ont jamais cru et qui ont fini par rejoindre la mère patrie après avoir fini par comprendre qu’ils n’étaient que des marionnettes du metteur en scène, l’Algérie. Le Maroc se trouve contraint de se défendre dans une guerre qu’il n’a jamais souhaitée, des harcèlements quotidiens ainsi qu’une campane d’injures et de dénigrements de ses institutions.
Le Royaume n’avait d’autre moyen que la patience. La patience fait éprouver parfois chez celui qui est contraint de la subir, de l’aversion pour tout ce qui n’est pas en accord avec sa prédisposition dans l’instant présent, même s’il sait que cela sera un bien pour lui par la suite. La vérité a fini par apparaître au grand jour, et le monde entier s’est rendu compte que l’affaire du Sahara n’est ni un désir d’expansionnisme du Maroc ni une affaire de son régime, mais c’est plutôt la stabilité et l’intérêt profond et durable du peuple marocain que ses adversaires tentent de mettre en jeu, voilà pourquoi l’affaire du Sahara est une cause nationale pour l’ensemble des composantes de la société marocaine.
Les acquis que le Maroc remporta dans sa cause sur le plan national et international grâce à la clairvoyance du Roi Mohamed VI sont certes une victoire, mais cela ne signifie pas qu’une démobilisation intérieure s’ensuive, la nation marocaine toute entière et en particulier sa jeunesse, de l’espoir porte étendard du Maroc de demain, doit être constamment prête au sacrifice. Une permanente prise de conscience des jeunes générations qui n’ont pas connu l’époque de la résistance anticoloniale et la lutte pour l’indépendance.
Saisie par le Maroc, la cour internationale de justice rendu le 16 Octobre 1975 son avis dans lequel elle reconnaît « que le Sahara n’était pas un territoire sans maître (terra nillius) au moment de sa colonisation par l’Espagne, que le Sahara avait avec le Royaume du Maroc des liens juridiques d’allégeance ». Dès la publication de cet avis, feu Hassan II prend acte de la reconnaissance qu’il contient, et ce fut la Marche Verte. L’ampleur de la mobilisation populaire s’explique, donc, par la nature même de la revendication, puisqu’il s’agit de reconstituer le patrimoine national en parachevant la reconquête de l’intégrité territoriale. La Marche Verte apparaît d’abord dans l’ordre et la discipline comme une revanche du peuple marocain sur une histoire qui lui a été imposée par la force.
Mais, le vent ne va pas toujours au gré de la caravane. Après cette voie pacifique qui a permis un juste aboutissement et une décolonisation grosse de risque d’embrasement dans la région, le Maroc se trouva face à une conspiration. Un mouvement révolutionnaire pour l’indépendance du Sahara est subitement né, un peuple est trouvé en exil, (des familles sahraouis amenées de force aux camps de séquestration à Tindouf et complété par des éléments algériens et des pays voisins) et enfin une pseudo entité appelé RASD, montage auquel beaucoup parmi les fondateurs du mouvement n’ont jamais cru et qui ont fini par rejoindre la mère patrie après avoir fini par comprendre qu’ils n’étaient que des marionnettes du metteur en scène, l’Algérie. Le Maroc se trouve contraint de se défendre dans une guerre qu’il n’a jamais souhaitée, des harcèlements quotidiens ainsi qu’une campane d’injures et de dénigrements de ses institutions.
Le Royaume n’avait d’autre moyen que la patience. La patience fait éprouver parfois chez celui qui est contraint de la subir, de l’aversion pour tout ce qui n’est pas en accord avec sa prédisposition dans l’instant présent, même s’il sait que cela sera un bien pour lui par la suite. La vérité a fini par apparaître au grand jour, et le monde entier s’est rendu compte que l’affaire du Sahara n’est ni un désir d’expansionnisme du Maroc ni une affaire de son régime, mais c’est plutôt la stabilité et l’intérêt profond et durable du peuple marocain que ses adversaires tentent de mettre en jeu, voilà pourquoi l’affaire du Sahara est une cause nationale pour l’ensemble des composantes de la société marocaine.
Les acquis que le Maroc remporta dans sa cause sur le plan national et international grâce à la clairvoyance du Roi Mohamed VI sont certes une victoire, mais cela ne signifie pas qu’une démobilisation intérieure s’ensuive, la nation marocaine toute entière et en particulier sa jeunesse, de l’espoir porte étendard du Maroc de demain, doit être constamment prête au sacrifice. Une permanente prise de conscience des jeunes générations qui n’ont pas connu l’époque de la résistance anticoloniale et la lutte pour l’indépendance.