Polisario: revers cinglant au sommet Inde-Afrique
La question du Sahara occidental continue d’opposer le Maroc et l’Algérie au niveau international, avec la nouvelle confrontation au sommet Inde-Afrique de New Delhi, qui a finalement refusé d’accueillir le Polisario arguant de la non-reconnaissance de la république du Sahara (RASD) par l’ONU.
Cet argument a également contrarié les instances de l’Union Africaine. Pourtant, l’UA a bataillé dur pour faire accepter la RASD au sommet Inde-Afrique, ouvert le 26 octobre à New Delhi. Peine perdue, le gouvernement indien n’a pas souhaité s’aliéner la présence du Maroc, acteur politique et économique incontournable de la scène africaine, dont le roi Mohammed VI participe à ce sommet.
Après ce nouveau camouflet, l’organisation africaine s’interroge sur la réalité de la RASD, totalement endiguée et en mal de reconnaissance à l’international. Pour corriger cette erreur, plusieurs Etats membres de l’UA plaident pour geler la qualité d’Etat membre de la RASD. Surtout qu’il s’agit d’une république sans existence dans la réalité, la république sahraouie ayant été imposée à l’organisation panafricaine par l’Algérie de Boumediene et la Libye du temps de Mouammar Kadhafi, au plus fort de la guerre froide dans les années 70.
Ce nouveau revers subi par l’Algérie et les pays africains qui soutiennent le front Polisario, est symptomatique du barrage opposé au Front sahraoui au niveau international. Un blocage d’autant plus révélateur après le virage intervenu au Congrès américain. Le comité des affaires étrangères du Congrès a, en effet, recommandé à l’administration américaine de soutenir le plan d’autonomie proposé par le Maroc pour parvenir à un règlement définitif de la question du Sahara occidental.
Le plan d’autonomie, présenté par le Maroc en 2007 à l’ONU, prévoit de doter la région du Sahara occidental de pouvoirs et compétences territoriales étendues afin de permettre à la population locale de gérer ses propres affaires, dans le plein respect de ses spécificités culturelles. Plusieurs grandes capitales soutiennent le plan d’autonomie, alors que le Conseil de sécurité de l’ONU l’a qualifié de base sérieuse et crédible pour un règlement au Sahara occidental.
Dommage que plusieurs grands pays ;ONG, experts en droit international ont été manipulés par les responsables algériens et des experts en mensonges et exploitation humaine?
En fait, les sahraouis n’ont pas le status de refugiés, n’ont pas chisir de s’installer à tindouf , sont encerclés par l’armée algérienne il y’a plus de 40ans, cette algérie qui prétend lutter pour le bien gaspille des milliards au moment où ils vivent dans des cartons à tindouf sous le solel brulant , le vent et la pluie=ce sont les hôtes des algériens et en plus leur voisins alors ils faut leur préparer le confort nécessaire comme celui d’Aminatou ou ben Abdel Aiz
Une republique sans terre sans population qui lutte pour le droit de diviser un pays , le ruiner et l’isoler pour appauvrir sa population ne mérite qu’une plaine au Conseil de Droits de l’Homme car ces gestes sont des crimes contre l’humanité.