Sahara : Le bon goût n’est pas à l’ordre du jour


Ne s’agit il pas, pour la Grande Bretagne comme pour l’Espagne, de territoires autonomes, de zones offshore florissantes, qui représentent un ballon d’oxygène pour leurs économies ? L’hypocrisie se situe là, en réalité, car ni Madrid, ni Londres ne veulent admettre qu’ils ont créé des zones de prospérité, à fiscalité allégée, qui leur permettent de soutenir leur croissance, et, à l’occasion, d’y abriter quelques sociétés écrans. De ceci, il n’est nullement question, car c’est un sujet qui risquerait d’hérisser la commission européenne, et ses règles très strictes sur l’économie communautaire. Affaire de gros sous donc, abritée pudiquement derrière une rhétorique nationaliste.
Cette même rhétorique nationaliste, paradoxalement, trouve ses limites lorsqu’on interroge les représentants espagnols sur les revenus issus des deux « présides », là, les bouches se cousent, les oreilles se referment. Serais ce donc là que se situe le fameux nationalisme espagnol, entre deux cartouches de cigarettes hors taxes ? Affaire à suivre
Cette même rhétorique nationaliste, paradoxalement, trouve ses limites lorsqu’on interroge les représentants espagnols sur les revenus issus des deux « présides », là, les bouches se cousent, les oreilles se referment. Serais ce donc là que se situe le fameux nationalisme espagnol, entre deux cartouches de cigarettes hors taxes ? Affaire à suivre