Conflit du Sahara, conseil de sécurité : la fin des controverses.
Le conseil de sécurité cherchant à transcender les difficultés pour faire ressortir le conflit saharien de l’impasse a adopté, lors de sa réunion du 30 avril 2009, la résolution 1871 tout en décidant de préserver l’intégralité de la résolution 1813 dans le cadre de la continuité réfutant de la sorte à retour en arrière et renforçant le processus engagé depuis 2007 grâce à l’initiative marocaine de l’autonomie.
L’accumulation des obstacles, depuis plus de 30 ans, aurait finalement convaincu les membres du conseil de sécurité de la bonne foi du Maroc, dont l’objectif et d’assurer un règlement rapide durable et concerté du conflit d’une manière qui exclue tous les chimères scénarios, qui se sont avérés inapplicable dans la réalité à savoir :
* Abandonner la médiation onusienne et laisser les belligérants reprendre les hostilités armées, ce qui déclenchera une guerre civile au Sahara entre la majorité des sahraouis qui vivent dans une région sécurisée et en voie de développement et leurs frères privés de tous les droits humains à Tindouf, avec un risque de déflagration de toute la région.
* Nier l’existence du Polisario et le drame humain des marocains sahraouis séquestrés en territoire algérien.
L’accumulation des obstacles, depuis plus de 30 ans, aurait finalement convaincu les membres du conseil de sécurité de la bonne foi du Maroc, dont l’objectif et d’assurer un règlement rapide durable et concerté du conflit d’une manière qui exclue tous les chimères scénarios, qui se sont avérés inapplicable dans la réalité à savoir :
* Abandonner la médiation onusienne et laisser les belligérants reprendre les hostilités armées, ce qui déclenchera une guerre civile au Sahara entre la majorité des sahraouis qui vivent dans une région sécurisée et en voie de développement et leurs frères privés de tous les droits humains à Tindouf, avec un risque de déflagration de toute la région.
* Nier l’existence du Polisario et le drame humain des marocains sahraouis séquestrés en territoire algérien.
* Reprendre le marathon du référendum et son dilemme d’identification, qui se sont avérés inapplicables selon les aveux même des différents secrétaires généraux qui se sont succédés au Nation Unie. Le Maroc, l’Algérie et le Polisario avaient chacun sa conception de la population et du territoire.
* Partager le Sahara en provocant une fracture entre les populations du Sahara solidement unies, et ce afin que l’Algérie puisse obtenir un débouché sur l’atlantique.
* Laisser encore le temps au temps, et en attendant, chacun reste à sa place, le Maroc dans son Sahara, les dirigeants du Polisario dans les grands palaces errants à travers le monde, et les pauvres séquestrés dans leurs calvaires à Tindouf. La RASD, créée, installée et reconnue par l’Algérie où flotte son drapeau, comble de l’anachronisme lorsqu’elle réclame le droit à l’autodétermination alors qu’elle prétend être un Etat.
* Renier totalement le voisinage entre les deux pays frères le Maroc et l’Algérie et donc chercher à changer la géographie.
Aujourd’hui, il va s’en dire que le poids des contraintes internationales doivent être prises en compte dans les relations algéro-marocaine, dans la mesure où celles-ci ne peuvent pas ne pas subir les effets de l’attitude et de l’action de l’ONU dans le traitement de la question du Sahara.
* Partager le Sahara en provocant une fracture entre les populations du Sahara solidement unies, et ce afin que l’Algérie puisse obtenir un débouché sur l’atlantique.
* Laisser encore le temps au temps, et en attendant, chacun reste à sa place, le Maroc dans son Sahara, les dirigeants du Polisario dans les grands palaces errants à travers le monde, et les pauvres séquestrés dans leurs calvaires à Tindouf. La RASD, créée, installée et reconnue par l’Algérie où flotte son drapeau, comble de l’anachronisme lorsqu’elle réclame le droit à l’autodétermination alors qu’elle prétend être un Etat.
* Renier totalement le voisinage entre les deux pays frères le Maroc et l’Algérie et donc chercher à changer la géographie.
Aujourd’hui, il va s’en dire que le poids des contraintes internationales doivent être prises en compte dans les relations algéro-marocaine, dans la mesure où celles-ci ne peuvent pas ne pas subir les effets de l’attitude et de l’action de l’ONU dans le traitement de la question du Sahara.